La gestion du quotidien de votre Résidence est pour la DIONYSIENNE de COPROPRIETES, mais aussi pour tous ses Clients, l’assurance d’un contrôle permanent du facteur risque dans la vie de la copropriété qui se renforce au fil des années de collaboration.

 Cet état d’esprit se traduit par la mise en place immédiate, en cas de sinistre important (Incendie, effondrement,…) d’une cellule de crise interne visant à apporter des solutions adaptées aux situations d’urgence et à offrir aux Copropriétaires l’accès en ligne aux informations, réactualisé jusqu’au dernier jour de la gestion du sinistre.

RAVALEMENT

Le ravalement et la réparation de la toiture constituent les travaux les plus coûteux

UN INVESTISSEMENT POUT L'AVENIR

Les travaux de ravalement sont  probablement ceux qui donneront le plus forte plus-value à votre bien : ils sont visibles immédiatement. L’obligation de ravaler les immeubles s’impose tous les dix ans sur injonction de l’autorité municipale. Les mairies peuvent enjoindre les copropriétés à effectuer ces travaux. Il conviendra donc de faire les démarches en terme de devis. Pour limiter les coûts de travaux élevés, la règle est de consulter au moins trois entreprises et de s’attacher la compétence et l’expertise d’un Architecte membre de la compagnie des architectes de copropriété. Sachez cependant que si la location de l’échafaudage est souvent le poste le plus élevé dans un ravalement, depuis l’été dernier, le ravalement doit être accompagné d’une amélioration de l’étiquette énergétique par des travaux d’isolation thermique et quelquefois phoniques.

CANALISATIONS

Les travaux de canalisations sont essentiellement liés à l'usure et la corrosion

SURVEILLANCE HEBDOMADAIRE

Si ces travaux sont souvent reportés car ils ne participent pas à l’esthétique de l’ensemble immobilier, leur bon état est fondamental et leur entretien régulier, voire leur remplacement dans les immeubles les plus anciens est garant de la structure même de la Résidence…Plus l’entretien est régulier, moins important sera le coût d’intervention sur les canalisations.

INTERPHONES - DIGICODES

Necessitent une installation et un suivi irreprochables

INDISPENSABLES A LA SECURITE DES ACCES

Les immeubles neufs sont aujourd’hui tous équipés d’interphones, voire de vidéophones afin de répondre aux normes PMR. Pour les immeubles moins récents et non équipés de tels systèmes, ces travaux d’amélioration peuvent être très profitables, en terme d’accessibilité, de confort d’habitation ET AUSSI D’ECONOMIE en remplaçant par exemple un interphone téléphonique première générationpar un système 3 ou 4G. Ils valoriseront naturellement l’immeuble et votre patrimoine, mais ces dispositifs complexes nécessitent une installation irréprochable et une maintenance sous 24H. 
 
 
 
 

Réfection des parties communes (murs, sols et plafonds...)

lutter contre l'usure

MIEUX VAUT PREVENIR QUE GUERIR

L’usure provoquée par les intempéries, le passage, la poussière entraîne avec une fréquence lente mais certaine la réfection des murs, sols et plafonds des parties communes. La meilleure façon d’économiser sur ces travaux est de les prévenir, de façon à ne pas être sous la dépendance d’une intervention d’urgence qui peut coûter jusqu’à deux fois plus cher qu’une intervention programmée. Cela nous conduit à évoquer l’indispensable plan à moyen terme.

PLAN A MOYEN TERME

Gérer c'est prévoir

PLANIFIER LES TRAVAUX

Le plan à moyen terme La DIONYSIENNE de COPROPRIETES reprend les travaux d’entretien essentiel qu’une copropriété devra entreprendre. Il a pour objet de prévenir les dysfonctionnements d’urgence et d’étaler dans le temps les travaux coûteux : ravalement tous les 10 à 15 ans, toitures / terrasses, chauffage, murs/sols/plafonds… d’ou l’implication du syndic dans la préparation de cet exercice.

Les travaux importants en copropriété sont les suivants :

  • Ravalement, réfection des toitures et des terrasses

  • Remplacement des canalisations en alimentation et évacuation.

  • L’implantation d’interphones, portiers vidéo & autres technologies innovantes…

  • L’amélioration des performances énergétiques du bâti.

  • Le plan prévisionnel de travaux à moyen et long termes

Les travaux affectant les parties communes et l’aspect extérieur de l’immeuble doivent faire l’objet d’une décision d’assemblée générale (articles 24, 25b de la loi de 1965).

Ces travaux comprennent également ceux effectués dans les parties privatives et qui ont une incidence sur l’aspect extérieur de l’immeuble (exemple : percement d’un mur porteur, fermeture d’une loggia, enseigne de magasin…).

Les honoraires sur les travaux sont votés à chaque décision et concernent :

  • les travaux de conservation ou d’entretien de l’immeuble, autres que ceux de maintenance ou d’entretien courant;
  • les travaux portant sur les éléments d’équipement communs, autres que ceux de maintenance;
  • les travaux d’amélioration, tels que la transformation d’un ou de plusieurs éléments d’équipement existants, l’adjonction d’éléments nouveaux, l’aménagement de locaux affectés à l’usage commun ou la création de tels locaux, l’affouillement du sol et la surélévation de bâtiments;
  • les travaux d’amélioration de l’étiquette énergétique du bâti.
  • les études techniques, telles que les diagnostics et consultations;
  • d’une manière générale, les travaux qui ne concourent pas à la maintenance et à l’administration des parties communes ou à la maintenance et au fonctionnement des équipements communs de l’immeuble.
Les honoraires complémentaires éventuels sont votés lors de la même assemblée générale que les travaux concernés et aux mêmes règles de majorité (article 18-1 complété par la Loi ALUR de la loi du 10 juillet 1965).

Tout n’est pas possible en copropriété …

Par ces importantes chaleurs, quelques dérives ont été déplorées dans certaines résidences et il m’apparait important de rappeler, de manière préventive, que la mise en place d’appareil de climatisation, autres que portatifs, est soumise à une règlementation très précise qui exposerait, en cas de non respect, son auteur à une action judiciaire qui le condamnerait à déposer l’installation sans délai avec des pénalités quotidiennes en cas de résistance…

En effet, ces travaux affectent les parties communes et/ou l’aspect extérieur de l’immeuble et nécessitent l’autorisation de l’Assemblée Générale, même s’ils sont justifiés par des raisons de santé ou ne sont pas inesthétiques.

L’ordre du jour doit notamment mentionner où les appareils seront installés.

La demande ne peut être formulée que par les copropriétaires et cela exclue les locataires

J’en profite pour rappeler les principaux travaux nécessitant l’autorisation de l’assemblée générale, sans que cette liste soit limitative…

En cas de doute, n’hésitez pas à me consulter !!!

Il s’agit notamment des travaux :

  • – de pose de châssis de fenêtres en toiture, du branchement des alimentations en eau et des évacuations sur les canalisations de l’immeuble;
  • – de pose de chiens-assis en toiture liée à l’aménagement des combles sans exhaussement de la panne faîtière;
  • – de pose d’une fenêtre de toiture;
  • – de pose de barreaux sur un fenestron;
  • – de percement d’un mur, partie commune, pour installer une porte entre deux lots appartenant au même copropriétaire;
  • – de percement d’un mur mitoyen entre deux copropriétés avant de réunir des locaux commerciaux, dans la mesure où l’opération n’est pas contraire à la destination de l’immeuble;
  • – d’installation d’une trémie dans un plancher, partie commune, destinée à faire communiquer deux lots appartenant à un même copropriétaire et situés l’un au-dessus de l’autre ;
  • – d’installation de conduits de fumées dans les parties communes même prévue par le règlement de copropriété;
  • – d’installation en façade d’une bouche d’évacuation des fumées de la chaudière à ventouse installée dans un lot;
  • – de modification de l’ordonnancement d’une cour, partie commune, aménagée en jardin dont les copropriétaires ont la jouissance privative et notamment de réalisation d’une chape de béton destinée à recevoir un dallage;
  • – d’aménagement d’un cellier en studio nécessitant la pose de châssis de fenêtres en toiture, le branchement des alimentations en eau et des évacuations sur les canalisations de l’immeuble;
  • – d’édification sur un jardin commun avec jouissance exclusive d’une véranda de construction légère, sans fondations et facilement démontable. Dans le cas contraire, l’autorisation nécessite la majorité de l’article 26 en raison de l’emprise au sol;
  • – le branchement d’un sanibroyeur sur le réseau d’évacuation commun;
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